• M. Patil, largement critiqué dans les médias pour n'avoir pas pu assurer la sécurité intérieure, a donné sa démission au Premier ministre Manmohan Singh, "assumant la responsabilité morale" pour les attaques qui ont fait près de 200 morts, dont 28 étrangers.

    La démission du ministre de l'Intérieur intervient au lendemain d'une réunion des instances dirigeantes du Parti du Congrès au pouvoir.

    Avant même les attaques de Bombay, des appels à la démission de M. Patil avaient été lancés à la suite des attentats de New Delhi en septembre et dans l'Etat de l'Assam, au nord-est du pays, en octobre

    Retour sur ces incidents et ces attentats :

    Les trois derniers terroristes retranchés au Taj Mahal de Bombay ont été abattus hier par les forces de sécurité spéciales. Elles ont mis fin à un carnage qui, en près de trois jours, a fait 195 morts et 295 blessés. Le Taj Mahal, palace de Bombay, a été le dernier lieu d'affrontements avec les terroristes. Les survivants ont décrit des scènes d'horreur.

    La série d’attaques visait principalement les étrangers. «Des jeunes hommes en armes sont venus vers nous, a raconté un témoin qui se trouvait à l’hôtel Taj. Ils demandaient ceux qui avaient des passeports américain ou britannique. Et ils ont ouvert le feu.»

    27 étrangers assassinés. Parmi les victimes figurent neuf Israéliens, cinq Américains, deux Français, deux Australiens, deux Canadiens, un Britannique, une Singapourienne, un Japonais, un Italien, une Thaïlandaise, un Allemand et un Mauricien. Les terroristes, dont neuf sur 10 ont été tués, visaient principalement les étrangers. Quinze membres des forces de sécurité indiennes ont péri.

    77 rescapés ont atterri hier à Roissy. Un Airbus A310 médicalisé transportant 77 personnes, dont 29 Français, s'est posé hier sur l'aéroport. Certains, sous le choc, n'ont pas voulu témoigner. « C'est trop dur, s'il vous plaît, laissez-moi ! » suppliait une femme en larmes. « On s'est retrouvés calfeutrés une quarantaine d'heures dans nos chambres, les informations étaient très confuses », rapporte Philippe Meyer, un homme d'affaires de 53 ans. Quelques blessés devaient se faire hospitaliser, quatre personnes ont été prises en charge par une cellule médico-psychologique. « Aucun blessé grave n'a été constaté », a précisé Patrick Espagnol, sous-préfet de l'aéroport. Le chef de la police antiterroriste, Hemant Karkare, a été tué au début des attaques.

    La Maison Blanche a condamnée les attaques. De son côté, la France faisait de même en tant que présidente de l’Union européenne. Paris mettait en place une cellule d’information téléphonique et recherchait la présence éventuelle de Français parmi les victimes.

    Le pakistan impliqué dans ces attaques ?

    Tensions entre l'Inde et le Pakistan. Delhi accuse le Pakistan, son grand rival, d'être impliqué dans ces attaques, pour lesquelles la piste d'Al-Qaida est aussi évoquée. Le Pakistan nie. Et le président pakistanais, Asif Ali Zardari, appelle l'Inde à ne pas réagir de façon excessive et trop rapide. « S'il existe une quelconque preuve d'une implication en quoi que ce soit de groupes ou d'individus pakistanais, j'agirai de la manière la plus prompte et ce devant le monde entier », a-t-il déclaré. Les services du contre-espionnage américain soupçonnent un groupe fondamentaliste musulman basé au Cachemire, Lashkar-e-Taiba. Et le Pakistan pourrait masser une partie de ses troupes sur la frontière avec l'Inde.

    Mon avis : Il n' y a pas de mot pour qualifier ces actes, pourquoi faire cela ? Pourquoi sur des étangers ? La bonne nouvelle oui il y en a une, c'est que ces attentats sont terminés, et l'on peut féliciter l'intervention des forces de sécurité spéciales. L'Inde met en cause le pakistan qui nie tout implication dans ces attentats, Si cela est avéré, on pourrait se retrouver dans une situation de tension entre l'Inde et le Pakistan. Alors qui est derrière tout ces attentats ? qui a tué tout ces innocents ? Il faudra répondre à ces questions.


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    Portrait d'une femme de retour au 1er plan
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    Elle revient de loin. Au début de l'année, alors que la campagne des municipales n'avait pas encore commencé, ils auraient été très peu au PS à miser sur une victoire de Martine Aubry dans la course à la succession de François Hollande. Alors forcément, son retour au premier plan de la scène politique, à 58 ans, surprend, étonnant même ? pas tant que ça, explication :

    En pleine campagne pour sa réélection à Lille, Martine Aubry n'est pas encore dans le coup. Mais la «dame des 35 heures» cache de moins en moins son envie de revenir au premier plan de la scène nationale. Son CV comporte plusieurs atouts. Fille de Jacques Delors, elle ne peut pas être soupçonnée d'être antieuropéenne. Ministre du Travail sous Lionel Jospin, elle a l'expérience gouvernementale. Mère des 35 heures, elle est la dernière socialiste à incarner une réforme emblématique de la gauche. Maire de Lille, elle a succédé en 2001 à Pierre Mauroy, la grande figure du socialisme à la française. Sa réélection, haut la main, en mars, vient essuyer les larmes de sa défaite aux législatives de 2002. Localement, Martine Aubry s'est alliée avec le MoDem pour sa réélection, mais refuse tout accord national.

    Peu convaincue par Ségolène Royal pendant la présidentielle, Martine Aubry était restée en retrait à Lille. Elle s'était contentée d'accueillir la candidate dans sa ville, point de passage obligé de toute campagne présidentielle socialiste, mais en masquant à peine son animosité. «Je n'ai pas aimé notre façon de faire de la politique en 2007», disait-elle en pensant à toutes ces bizarreries ségolénistes.
    La démocratie participative ? «La politique, ce n'est pas demander à chacun ce qu'il veut pour ensuite lui promettre», attaque-t-elle régulièrement. L'ordre juste ? «C'est juste l'ordre», persifle-t-elle. Martine Aubry rêve de prendre sa revanche sur Ségolène Royal qui, sur bien des points, est son exact contraire. Les deux femmes ne se sont jamais appréciées et Royal n'a pas hésité à critiquer les 35 heures. Pour éviter que cette réforme se retourne contre elle pendant la campagne, Aubry prend les devants : «Les 35 heures ont créé des emplois, elles étaient une réponse adaptée lorsqu'elles ont été mises en œuvre.» Sous-entendu : ce n'est plus forcément la bonne réponse aujourd'hui.

    Et Ségolène Royal dans tout ça ?

    Quand à Ségolène Royal, après la tempête, le calme:  elle qui a perdu d'un cheveu - 102 voix d'avance pour sa rivale - la course à la direction du PS, a déjà tourné la page, s'adressant directement, dans un message internet, à ses partisans.
    Finies les menaces de recours en justice contre un scrutin qui lui a "volé la victoire", ou de manifestation devant les grilles de Solférino. De quoi rassurer l'ex-patron, François Hollande, pour qui "cette belle rue de Solférino, une rue de bataille, doit être maintenant une rue d'armistice".
    L'ex-candidate à la présidentielle se projette dans l'avenir, avec une stratégie très aboutie. Elle entend rassembler son camp avec un but proclamé: la présidentielle. "2012, c'est bientôt, 2012 c'est demain", lance-t-elle dans son message vidéo.

    Et maintenant ?

    Aubry a laissé la porte ouverte aux royalistes dans sa nouvelle équipe de direction. «Nous ne faisons pas de la politique de la même manière, elle a défendu une autre ligne politique» mais elle est entourée de «gens compétents» qui ont leur place dans la future direction, a assuré Aubry. Reste que la constitution de son équipe s'avère compliquée. Chez les hollandais, Michel Sapin plaide pour une direction large «sans majorité, ni minorité».

    Du côté de Benoît Hamon, qui avait appelé à voter pour la maire de Lille après son élimination au premier tour du vote pour le premier secrétaire, on assure qu'il n'est pas automatique d'entrer dans l'équipe de direction. D'autant que, contrairement à ce qu'avait assuré Martine Aubry mardi soir, on soutient qu'aucun texte commun n'est à l'étude entre la nouvelle première secrétaire, Bertrand Delanoë et l'aile gauche du PS. Tout juste Benoît Hamon se risque-t-il à livrer un conseil pour diriger le parti : «Faire comme Nicolas Sarkozy ou Margaret Thatcher avec leur camp : revenir aux fondamentaux : les salaires, la construction européenne, les services publics.»

    Mon avis : cette fois Martine Aubry est vraiment élu 1ère secrétaire du parti Socialiste, il y en aura eu des rebondissements. Mais cette guerre au PS est elle finit ? Je ne pense pas que les deux femmes, vont travailler main dans la main dans les semaines à venir, alors que hier elles se détestaient. Pourtant à 1ère vu elle pourrait signer un pact de "non agression". Ségolène Royal parle déjà de 2012 alors qu'elle a echoué à deux electiions (2007 et 2008). Quand à martine Aubry est elle libre ? Sachant qu'elle n'a obtenu que 50% des voix. Quel changement sera fait au PS ? une alliance avec le Modem de F.Bayrou ? exclu par M.Aubry. Si le PS veut redevenir l'opposition en France il faudra du rassemblement, et un rassemblement derrière M.Aubry car c'est elle la 1ère Secrétaire du Parti Socialiste. Mais saura t'elle rassembler ?


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  •  Je devais écrire un article sur le vainqueur et donc sur le nouveau secrétaire du parti socialiste, mais au vu des résultats nous attendrons que le Conseil national du parti proclame officiellement mardi le nom de la nouvelle Première secrétaire.

     


    Retour sur ces évènements : Peu avant 1 heure, le camp Aubry avait annoncé la victoire. Du «définitif», à 50,5%, jurait Laurence Rossignol, porte-parole de la maire de Lille. En face, les royalistes n'ont jamais reconnu leur défaite. En début de soirée, ils ont même joué l'intox, annonçant une victoire de Royal à 53%...

    Vers 2 heures du matin, l'ambiance prend une tournure surréaliste rue de Solférino. Alors que quelques dizaines de militants regroupés devant les grilles du siège du parti crient «Unité ! Unité ! Unité !», Daniel Vaillant vient annoncer à la presse qu'il est dans l'incapacité d'annoncer quoi que ce soit... «Comme les résultats sont extrêmement serrés, je ne peux, au moment où je vous parle, dire qui l'emportera».

    A l'issue d'une nuit rocambolesque, la direction du PS a annoncé au petit matin que Martine Aubry avait 42 petites voix d'avance sur la finaliste de la dernière présidentielle. Selon la totalisation des résultats de l'ensemble des fédérations de métropole et d'outre-mer, qui doit encore être validée par les instances du parti, la maire de Lille a obtenu 50,02% des voix et la présidente de la région Poitou-Charentes 49,98%

    Victoire contestable

    "L'élégance et l'intelligence appellent à revoter le plus vite possible", a également estimé Julien Dray, député de l'Essonne et autre proche de Ségolène Royal. "C'est dans l'intérêt bien compris du parti et de celle qui aura à exercer demain la responsabilité de Premier secrétaire".

    "Il n'y a pas de doute (...) Martine Aubry est arrivée en tête", a rétorqué le député de Paris Jean-Christophe Cambadélis. "On va réunir le Conseil national le plus rapidement possible" et "nous allons faire en sorte que le résultat soit validé", a-t-il déclaré. "Martine Aubry a gagné de très peu de voix, mais elle a gagné".

    Les partisans de Ségolène Royal contestent en particulier les résultats dans le Nord, fief de Martine Aubry. "Nous utiliserons tous les moyens, politiques, juridiques, judiciaires pour contester cette victoire", a menacé le député de l'Essonne Manuel Valls. Et d'appeler à "une révolte militante": "nous sommes très déterminés à ne pas nous laisser voler cette victoire".

    Peu avant 3 heures, alors que Ségolène Royal s'apprête à rassembler ses proches à son QG, la candidate lâche : «Je ne vais pas me laisser faire»... Martine Aubry, à peu près au même moment, appelle à «une attitude de responsabilité. Les chiffres sont connus. On ferait mieux de discuter». Pour se partager Solférino ? L'hypothèse a circulé, dans la nuit. Une drôle de nuit.

    "Il y a un seul parti socialiste"

    "Personne ne peut être en capacité de diriger seul le Parti socialiste", a averti François Hollande pour tenter de calmer le jeu. A l'heure où les amis de Ségolène Royal réclament un nouveau vote, le Premier secrétaire a appelé à d'abord "tirer toutes les
    conclusions de ce vote, avant d'en annoncer un prochain. Faisons attention,(...).Plutôt que de multiplier les incidents ou les contentieux, je pense que l'esprit de rassemblement doit l'emporter sur toute autre considération", a-t-il insisté. Il n'y a "pas deux partis socialistes, un qui aurait fait 50,001(%) et un autre 49,99(%). Il y a un seul Parti socialiste", a-t-il martelé.

    Reste que l'heure n'était pas samedi au "rassemblement", et que c'était bien deux blocs quasiment égaux qui s'affrontaient violemment, avec des accusations de tricherie de part et d'autre

    Mon avis : Ce n'est plus le parti socialiste mais le parti spectacle, plus sérieusement, on pensait avoir le nom du prochain secrétaire du PS, on va attendre mardi pour  voir si le conseil national du parti socialiste annonce Martine Aubry, 1er secrétaire du parti socialiste. En tout cas j'espère vraiment qu'il n'y a pas eu de triche, ou d'autres manoeuvres. Dans le cas contraire Mme Royal doit accepter sa défaite. Il est clair que maintenant le PS est coupé en deux. Et donc je me pose une question : pourquoi que le PS ne se divise pas en deux ? Faire deux partis. Puisqu'il est incapable de se rassembler.
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  • Avant de parler de l'actualité du Dalaï Lama et de la chine, voici les principales dates de ces dernieres années :

     

    "Depuis son exil en 1959, le dalaï-lama est dénoncé systématiquement par le gouvernement chinois qui le qualifie d'indépendantiste. Malgré cela, le dalaï-lama persévère dans la voie de la non-violence et demande à la Chine de négocier pour aboutir à un compromis politique. Le 9 mars 1961, il lance un appel à l'Organisation des Nations Unies en faveur d'une restauration de l'indépendance du Tibet. Puis, après l'ouverture de Deng Xiaoping qui déclara en 1979 qu'en dehors de l'indépendance tout était discutable, le dalaï-lama ne demande plus qu'une autonomie réelle du Tibet au sein de la République populaire de Chine se basant sur la constitution chinoise. Si des discussions entre des émissaires du dalaï-lama, avec des représentants du gouvernement chinois ont débuté en 2002, aucune négociation directe entre le Dalaï-Lama, son gouvernement en exil et le gouvernement chinois n'a encore débuté."

    La chine pas d'accord et le fait savoir :
    La Chine met en garde la France sur l'impact négatif concernant la rencontre entre Nicolas Sarkozy, le Président français et le Dalaï Lama, le chef spirituel des Tibétains prévue le 6 décembre prochain en Pologne, où tous deux doivent assister aux cérémonies du 25e anniversaire de l'attribution du prix Nobel de la paix à Lech Walesa.

    «Nous appelons la France à considérer les intérêts généraux, à préserver le principe d'une seule Chine, à respecter ses engagements, à prendre en considération les inquiétudes chinoises et à gérer correctement ce problème pour promouvoir le développement stable des relations sino-françaises et sino-européennes», a souligné le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Qin Gang, dans un communiqué

    Si c'est un problème, ce sera une occasion de dialogue de plus", a répondu Nicolas Sarkozy lors de la conférence de presse clôturant un sommet entre l'Union européenne et la Russie à Nice . "J'ai fait suffisamment pour la compréhension des uns envers les autres (...) Je pense que la décision chinoise de relancer, comme ils l'ont décidé (le dialogue entre Pékin et le chef spirituel tibétain), est une décision extrêmement importante. On a besoin de la Chine pour régler les affaires du monde (...) Il y aura d'autres décisions que j'annoncerai en Pologne", a-t-il poursuivi. "Ce n'est pas un problème, moi je l'ai (le dalaï-lama) déjà rencontré vingt fois", avait un peu plus tôt répliqué Bernard Kouchner.

     


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  • Oussama Ben Laden (Usāmah bin Muhammad bin `Awad bin Lādin), originaire du Yémen, né le 10 mars1957 à Riyad en Arabie saoudite est le chef et fondateur du réseau Al-Qaida. .


    Son histoire :

    Un père richissime, à la tête de l’empire commercial Bin Laden, et le soutien de la famille royale saoudienne. Oussama Ben Laden était promis dès sa naissance à un avenir d’entrepreneur à la vie facile. Mais l’ennemi public n°1 des Etats-Unis en a voulu autrement. Ben Laden a 22 ans quand le prince saoudien Turki al-Fayçal l’approche. Connaissant la foi profonde du jeune homme, il l’incite à partir en Afghanistan afin de combattre l’occupation soviétique.

    En arrivant sur place en 1982, Ben Laden découvre la désorganisation des moudjahiddins. Volontiers volontaire, il intègre le « Bureau des services ». Et s’occupe de tout : accueil des combattants, formation, approvisionnement, soutien des civils, éducation. A la tête de ce qui deviendra Al-Qaïda,

    Ben Laden est déçu lorsqu’il apprend en 1989 que l’Arabie saoudite et les Etats-Unis lui retirent leur soutien, puisque l’URSS a déserté l’Afghanistan. La rupture vient avec la première guerre en Irak, lorsque le roi Fahd refuse son aide et lui préfère l’armée américaine. Pour lui, le sol sacré de l’Arabie saoudite est souillé par les infidèles. Isolé des Américains et des Saoudiens, Oussama Ben Laden s’exile au Soudan et finance plusieurs organisations terroristes dans le monde.

    En 1992, ces organisations frappent le Yémen et le World Trade Center. Sa nationalité saoudienne lui sera finalement retirée en 1994, après la publication de "fatwas" dénonçant les Etats-Unis et la famille royale saoudienne, il s’exile au Soudan
    En 1996, les ambassades américaines du Kenya et de Tanzanie sont la cible des bombes. La guerre s’officialise. Depuis traqué et caché, Ben Laden semble diriger Al-Qaïda de loin.

    Considéré par les Etats-Unis comme le financier du terrorisme islamiste, Ben Laden a été placé par le FBI en 1999 sur sa liste des dix personnes les plus recherchées dans le monde. Washington a même décidé d'offrir 25 millions de dollars pour toute information permettant d'appréhender Oussama Ben Laden.

    Le 11 septembre 2001 il ne revendique pas les attaques des World Trade Center, mais lui seul dispose des fonds nécessaires pour mener un tel projet, c'est alors que le président Bush déclare la guerre aux terroristes, et surtout à Ben Laden, il fera la promesse de le capturer...

    Toujours très recherché :

    Oussama ben Laden est très isolé et a été obligé de "consacrer beaucoup d'énergie à sa propre survie", a indiqué jeudi le directeur de la CIA Michael Hayden, laissant entendre que le chef d'Al-Qaïda était encore en vie.
    "Il consacre énormément d'énergie à sa propre survie, beaucoup d'énergie à sa propre sécurité. En fait, il semble être largement isolé des opérations au jour le jour de l'organisation qu'il dirige nommément", a dit M. Hayden, en référence au réseau terroriste Al-Qaïda.
    "Je peux vous assurer, même s'il y a eu des spéculations indiquant le contraire dans la presse, que la traque pour ben Laden est vraiment en tête de liste des priorités de la CIA", a-t-il ajouté, lors d'un discours à Washington sur la menace posée par Al-Qaïda.
    Il a laissé entendre que ben Laden se cacherait à la frontière afghano-pakistanaise, où selon lui Al-Qaïda s'est regroupé.

    Mon avis : Tout d'abord bizarre, on entend reparler de Ben Laden quelques jours après la fin des élections Americaines,  Barack Obama, pendant sa campagne, avait dit qu'il mettrait tout en oeuvre pour retrouver l'ennemi public N°1 des Etats-Unis. Quand à Ben Laden il se cache, il est toujours introuvable. La CIA sait elle vraiment où est Ben Laden ? On peut vraiment se poser la question, 2001 c'était il y a 7 ans, depuis les Américains disent qu'il se trouve à la frontière afghano-pakistanaise. Mais le constat est simple Ben Laden n'a toujours pas était capturé. Est il mort ? ou tout simplement, est il à l'autre bout du monde ? Autant de questions à laquelle il n'y a pas de réponse.


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