• Ce que cela peut changer

    Nicolas Sarkozy prend mardi 1er juillet la présidence du Conseil européen. On parle beaucoup du "non" irlandais au traité de Lisbonne qui va être un problème auquel va devoir faire face la France. Mais quels sont les autres défis auxquels Nicolas Sarkozy va être confrontés ?

    - Ce "non" irlandais au référendum sur le traité de Lisbonne reste l'un des principaux défis pour la présidence française. Ce refus va polluer la mandat français, car Paris a beaucoup réfléchi sur sa présidence en se plaçant dans une optique d'entrée en vigueur du texte. Les priorités de la France ont été élaborées avant ce "non". Il va falloir trouver et proposer une sortie de crise valable à cette situation de blocage institutionnel.
    Après le rejet de traité par les Irlandais, les 27 devaient s'accorder sur la position à adopter vis-à-vis du traité, sur la poursuite du processus de ratification. Faute d'avoir trouvé un accord valable, l'examen du dossier a été reporté en octobre, lors de la prochaine réunion du Conseil européen. Le pire des scénarios serait que les dirigeants décident de ne rien décider.
    Beaucoup d'Etats européens ont par ailleurs une tradition d'euroscepticisme, comme le Royaume-Uni, ou la République Tchèque, et pourraient utiliser ce "non" pour bloquer les actions européennes.
    La vraie problématique est en fait le manque de courage, le manque d'une vision d'avenir des dirigeants européens. Il ne faut pas avoir peur d'avancer à plusieurs vitesses, car il y a des réussites européennes, qui se concrétisent dans la vie de tous les jours des citoyens européens, comme l'euro, l'espace Schengen. Il faut sortir de l'ambiguïté, du débat implicite entre les tenants d'une Europe fédérale et ceux qui sont juste pour un marché commun. Ce débat est une force centrifuge qu'on devrait peut-être affronter, pour finalement avancer.

    Que peut-on dire justement des priorités que Paris s'est donné pour ses 6 mois de présidence : énergie et environnement, Europe de la défense, pacte européen pour l'immigration et agriculture ?

    - Paris est parti sur des bases très ambitieuses. Cela est normal, car la France est l'un des pays fondateurs de l'Europe. Cependant à partir du mois de mars, on a pu noter des changements de ton dans les déclarations faites par Nicolas Sarkozy, afin sans doute de gommer son image d'arrogance, répandue en Europe.
    Les priorités que s'est fixée la France sont en plus loin d'être consensuelles, hormis celle sur l'immigration. Je vais les reprendre en quelques mots chacune.
    - Sur l'immigration, le projet est de faire adopter un pacte européen : uniformisation du droit d'asile, adoption de règles communes sur l'immigration clandestine, établissement d'un principe européen de contrat d'intégration, comme approfondir la langue du pays ou ses coutumes. L'Italie et l'Espagne sont très concernées par ce problème, car elles connaissent des débarquements massifs d'immigrés clandestins. Les sensibilités diffèrent totalement de celles de la France sur cette question. L'immigration se fait de manière spontanée, dans une tradition de laissez-faire et est considérée de manière positive. En Espagne, le gouvernement de José Luis Zapatero a procédé à des légalisations massives d'immigrés clandestins. La crainte est justement que ce pacte s'oppose à ces régularisations massives. Par ailleurs, pendant la campagne législative en février, le candidat Mariano Rajoy du Parti populaire espagnol a prôné un "contrat d'intégration" pour les immigrés, une position qui a été totalement rejetée lors des élections. On voit donc mal comment ce pacte pourrait être accepté maintenant. Ces différends mis à part, l'immigration reste un des dossiers les plus consensuels.
    - Le paquet énergie-climat est lui aussi très important, et sur ce point, devra composer avec les réticences de Berlin. L'objectif est ici de préparer une grande rencontre européenne, qui aura lieu sous la future présidence suédoise, dans un an, et qui poserait les bases de l'après-Kyoto. La France voudrait développer le nucléaire civil, tandis que l'Allemagne exclut au contraire tout accord sur le sujet. Elle penche pour un développement des énergies renouvelables.
    - Sur la question de la politique agricole commune (PAC), la France veut une refonte générale et rapide de la PAC et de son financement. Cela passe par la réforme des budgets de l'Union européenne. Seulement, le redéploiement des crédits fait grincer des dents, notamment le Royaume-Uni qui bénéficie d'un rabais dans la contribution que le pays verse au budget européen.
    - Sur la défense enfin, la France a décidé de réintégrer l'OTAN. L'idée est de normaliser les relations France-OTAN, afin de pouvoir parvenir à un renforcement de la PESD (politique européenne de sécurité et de défense), qui ne serait pas perçue comme allant à l'encontre des intérêts américains. Si l'Espagne, l'Ialie, l'Allemagne voient cette position plutôt d'un bon œil, ce n'est pas le cas du Royaume-Uni, dont l'accord est pourtant nécessaire. Gordon Brown est en effet très affaibli dans son pays. Des élections générales ont lieu en 2009 et durant la campagne électorale difficile qui s'annonce pour lui, il est peu probable qu'il soit prêt à faire des concessions en matière de PESD.
    Il n'y a que des dossiers problématiques, il va être dur de faire l'unanimité en Europe sur l'ensemble de ces points.

    "Les Français, qui ne sont pas modestes, croient que la présidence de l’Union consiste à diriger l’Europe", a dit Valéry Giscard d'Estaing. Nicolas Sarkozy en tant que président du Conseil européen va-t-il avoir un réel pouvoir ? La France a-t-elle des alliés au sein de l'Europe ?

    - Les présidents du Conseil européen ont pour seul objectif de fixer des priorités et des trouver des compromis. Cette présidence va aussi beaucoup tenir à la personnalité de Nicolas Sarkozy. L'Union européenne a toujours beaucoup plus avancé dans les moments de crise. Le dynamisme du président français pourrait donc être un atout pour la prise de décision.
    Car je le répète, le scénario catastrophe serait que rien ne soit décidé à l'issue de cette présidence européenne. Il faut que se créée une réelle volonté d'avancer entre les dirigeants européens. Il faut un certain courage politique, c'est vrai. Mais il faut arrêter de toujours rejeter la faute sur Bruxelles lorsqu'il y a un blocage, de critiquer son inaction : Bruxelles est une institution, elle a les pouvoirs que lui ont votés les Etats-membres dans les traités qu'ils ont rédigés.
    Les alliés de la France varient un peu selon les sujets, comme je l'ai expliqué plus haut. Une chose est sûre : la négociation à 27 est difficile, car chacun défend ses intérêts. Le risque est ainsi de n'obtenir que des compromis au rabais, qui déçoivent l'opinion publique européenne, et qui montrent encore une fois l'illisibilité des décisions européennes.

     

    Mon avis : Ce NON Irlandais, à un peu refroidit les ardeurs française, car avec un oui tout cela aurait été bien différent, mais n'oublions pas que nous sommes 27 pays et qu'ils doivent tous être d'accord, mais ces 1ers jours de présidence nous montre que la france veut faire passer ses idée comme le pacte européen sur l'immigration qui a été voter par ces 27 pays, une 1ère victoire francaise, on en attend d'autre, comme la taxe à 5,5% sur la restauration, mais aussi sur les carburants.
    La france veut aller de l'avant ce qui représente un bon point. Mr Sarkozy peut faire changer beaucoup de chose

     


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    Il y a un an, Nicolas Sarkozy remportait l’élection présidentielle française avec plus de 53 % des voix. Sa popularité s’est depuis érodée. Selon un sondage publié lundi par le quotidien de gauche Libération, 59 % des Français voient cette première année comme un échec. La veille, un sondage du Journal du dimanche (JDD), propriété d’Arnaud Lagardère, un proche du chef de l’Etat, annonçait que seuls 36 % des Français se déclarent désormais "satisfaits" par le président.

    "Je veux être le président qui tiendra ses engagements", avait à l’époque écrit à la main le candidat UMP sur la première page de son
    projet présidentiel. Où en sont aujourd’hui les réformes annoncées ? Sur TF1 et France 2, jeudi à partir de 20h15, le chef de l’Etat va devoir justifier ses actions et tenter de faire oublier la médiatisation de sa vie personnelle, qui a pesé ces derniers mois sur sa popularité. Les chaînes de télévision annoncent une heure et demie d'interview.  

    A l’international

    Le rapprochement avec les Etats-Unis, souhaité pendant la campagne par Nicolas Sarkozy, était ces dernières semaines à l’honneur. Le 3 avril, le président français a promis la réintégration totale de la France dans l’Otan pour 2009 (le Général de Gaulle s’était retiré du commandement intégré de l’Alliance atlantique en 1966).

    Quelques jours avant, Nicolas Sarkozy avait répondu aux sollicitations des Américains en annonçant l’
    envoi de renforts français en Afghanistan. Il avait pourtant parlé, pendant sa campagne, d’un désengagement progressif de la France. "Aucune armée étrangère n’a réussi dans un Etat qui n’était pas le sien", avait-il alors déclaré.

    En matière de politique étrangère, Nicolas Sarkozy a tenu sa promesse de faire tout son possible pour obtenir la libération de l’otage franco-colombienne Ingrid Betancourt. Mais ses efforts ont été soldés par un échec lorsque le 8 avril, Paris a dû
    rappeler l’avion médicalisé envoyé à Bogota, après que les FARC ont jugé la demande de la France "irrecevable". Par contre, le président a remporté un franc succès avec la libération des infirmières bulgares retenues en Libye depuis huit ans.

    Nicolas Sarkozy semble avoir eu davantage de succès du côté de l’Union européenne. En
    décembre, il a finalement réussi à convaincre ses partenaires de signer à Lisbonne le traité simplifié, pour lequel avait milité le candidat en campagne.

    En mars, il est également parvenu à imposer à ses homologues européens son projet d’Union méditerranéenne. Le compromis trouvé est toutefois bien
    en deçà des ambitions affichées à l’origine.

    Prochain test pour la politique étrangère du chef de l’Etat : la gestion de l’épineux dossier des Jeux olympiques de Pékin. "Je ne passerai jamais sous silence les atteintes aux droits de l’Homme au nom des intérêts économiques", avait promis le candidat.

    Sur le plan national

    Dès son arrivée au pouvoir, le chef de l’Etat s’est attaqué aux réformes fiscales promises pendant la campagne. Bouclier fiscal (un contribuable ne doit pas être taxé sur plus de 50 % de ce qu’il gagne), défiscalisation des heures supplémentaires et du travail étudiant, réduction des droits de succession, ou crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt  : la plupart des mesures a été lancée dès l’été.

    Des réformes considérées comme des cadeaux aux plus riches par l’opposition et qui inquiètent les partisans de l’équilibre budgétaire. De l’aveu même du gouvernement, ces réformes devraient coûter 13 milliards d’euros en 2009. Selon les experts européens, le déficit budgétaire français devrait atteindre 3 % en 2008.

    Pour tenir sa promesse de revenir à l’équilibre des finances publiques en 2012, Nicolas Sarkozy a donc fini par lancer début avril
    un plan d’économies. Sans prononcer le mot "rigueur", il prévoit notamment de ne pas remplacer un départ à la retraite de fonctionnaire sur deux.

    Le paquet fiscal visait notamment la relance du pouvoir d’achat  - la grande promesse, s’il ne fallait en retenir qu’une. Sur ce point, la déception est importante.

    Nicolas Sarkozy lui-même semble avoir baissé les bras : "S'agissant du pouvoir d'achat, qu'est-ce que vous attendez de moi ? Que je vide des caisses qui sont déjà vides ?", s’est-il exclamé en janvier lors d’une conférence de presse.

    La 
    possibilité de revendre ses RTT (jours de repos dans le cadre de la "réduction du temps de travail" - les "35 heures" mises en place par le gouvernement Jospin) répond au slogan de campagne "travailler plus pour gagner plus" mais ne semble pas pour l’instant à même de répondre au défi.

    Sur le plan social, Nicolas Sarkozy a mené, à l’automne dernier, la réforme des régimes spéciaux de retraite - la mesure a déclenché une grande
    vague de protestation.

    Pour lutter contre la pauvreté et encourager la valeur travail, le candidat UMP avait proposé – c’était l’une des mesures phares de son programme - un revenu de solidarité active (RSA). Le principe : inciter les chômeurs à retrouver un emploi en leur garantissant que toute heure travaillée représente effectivement un gain de revenu. Le dispositif est à l’essai dans certains départements mais sa généralisation traîne. Martin Hirsch, haut commissaire aux solidarités actives, se dit confiant, mais le chef de l’Etat ne semble pas encore prêt à dépenser les 2 à 3 milliards d’euros nécessaires.

    Enfin, la réforme des institutions était présentée comme urgente pendant la campagne mais a tardé. Elle apparaît désormais imminente.

    Nicolas Sarkozy
    avait par exemple proposé pendant la campagne de renforcer les pouvoirs du Parlement et d’introduire une dose de proportionnelle aux législatives. Le projet de loi sur la modernisation des institutions sera finalement soumis aux élus en mai, avec plusieurs mois de retard.

    En outre, Nicolas Sarkozy a, comme annoncé dans sa campagne, réduit le nombre de ministres. Mais il a multiplié en échange les postes de secrétaire d’Etat. Au final, avec le Premier ministre, 15 ministres, 21 secrétaires d’Etat et un haut commissaire, le
    gouvernement compte pas moins de 38 membres – c’est 6 de plus que le gouvernement de Dominique de Villepin de 2005.

    "Mon avis : On a eu pendant 1 ou 2 mois un président "bling bling" , je pense que cela lui a été préjudiciable, mais ne juge t'on pas quelqu'un sur ses actions plutot que sur son mode de vie. Quelque couac pendant cette 1ère année, un président trop présent, mais me semble t-il que son prédecesseur M. Chirac a été vivement critiquer sur son silence.
    Alors il est bas dans les sondages, il est vivement critiqué. Sera t-il à la hauteur ? L'avenir le dira.


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  • L’affaire de ce mariage annulé parce que l’épouse n’était pas vierge suscite toujours beaucoup de réactions. Le député UMP Hervé Mariton a estimé que « le mensonge justifie la nullité de ce mariage ».

    «La jeune femme n’avait pas quarante solutions. Soit elle répondait à son mari que sa vie d’avant ne le regardait pas, soit elle répondait honnêtement. Elle a choisi de mentir », argumente le député de la Drôme, très attaché aux valeurs familiales. Souvent critique à l’égard du gouvernement, Hervé Mariton indique avoir appelé « hier matin la garde des Sceaux pour lui manifester mon soutien ». Le Haut-commissaire aux solidarités actives, Martin Hirsch, a, à l’inverse, estimé qu’un tel jugement est « proprement inconcevable dans notre société » et s’est dit « en colère » à ce sujet.

    L’« hypocrisie gouvernementale »

    Tout comme Patrick Devedjian, il déclare nécessaire de faire appel dans cette affaire et en cas de confirmation du jugement, « il faudrait modifier la loi ». Un avis partagé par Roselyne Bachelot. L ’ ex-ministre Corinne Lepage a de son côté dénoncé samedi une certaine « hypocrisie gouvernementale » : « Ou bien le gouvernement - et le président de la République, qui ne s ’ est pas exprimé - estime que la virginité est une " qualité essentielle" de la femme dans un mariage, faisant sienne une conception religieuse (...) ou bien il décide de faire appel du jugement et assure le respect de la laïcité (...) ». « Nous savons que les droits des femmes ne sont jamais acquis, mais nous ne pensions pas arriver à une telle régression dans notre pays », a ajouté pour sa part le maire de Lille, Martine Aubry.

    "Mon avis : Je pense que ce marriage fera un long débat puisque, le jugement a annuler la marriage mais il y'aura un appel, donc nous verrons plus tard ce qu'il en ressortira. Sur ce point je pense qu'il n'y a pas lieu d'annulé un marriage pour une raison comme sa qu'il n'est pas " valable ". Mais je pense aussi que Mme Dati s'est attiré les foudres de beaucoup de politiques meme de son propre camps. mais n'a t-elle pas raison au fond.
    Mais Es-ce le propos de trop de Mme Rachida Dati ?


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    Bertrand Delanoë devant Ségolène Royal dans la campagne pour prendre la tête du Parti socialiste. C'est ce que pense la moitié des sondés du baromètre Opinionway publié ce vendredi matin

     

    La campagne pour prendre la tête du Parti socialiste est lancée et les sondages commencent à tomber. Un baromètre Opinionway-Le Figaro-LCI donne Bertrand Delanoë vainqueur à la future investiture.

    49% des sondés pensent que le maire de Paris a plus de chances de prendre la tête du parti, contre 18% en faveur de Ségolène Royal. A plus de cinq mois du congrès, les autres candidats à la tête du PS semblent avoir leurs chances, puisqu'un tiers des sondés ne voit ni Ségolène Royal ni Bertrand Delanoë en Premier secrétaire national.

    L'institut Opinionway a interrogé un panel représentatif d'internautes pour connaître leur pronostic sur le résultat (et non pour leur demander leur préférence).

    "Moi je pense que ce duel fera un grand perdant quelque soit le perdant, mais je pense aussi que Mr delanoë par avec un peu d'avance car il avait été très discret jusque la, surtput pendant la présidentiel. Il faudra voir si les socialistes n'ont pas peur du mot "libéral" que Mr delanoë a employé"


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  • Le président français Nicolas Sarkozy a souhaité aujourd'hui à Vienne que le débat sur les 35 heures "reste serein" et assuré que la durée légale du travail en France resterait fixée à 35 heures, assurant que le gouvernement ne "variera pas".

    "Il faut que le débat reste serein. La durée hebdomadaire du travail restera à 35 heures en France, c'est une chose qui est claire et sur laquelle le gouvernement ne variera pas".

    "Ce que nous voulons, c'est éliminer les aspects si négatifs, au plan économique comme au plan social, qu'ont eu les 35 heures sur l'économie française en supprimant tous les verrous qui empêchaient les salariés et les chefs d'entreprise de négocier un contingent d'heures supplémentaires librement au niveau de l'entreprise", a-t-il ajouté.

    "Si on supprime la référence aux 35 heures, on supprime aussi la référence aux heures supplémentaires, ce qui n'aurait pas de sens", a insisté le président français.

     

    Mon avis est que les 35 heures ne seront pas supprimer, et pourtant quand martine Aubry les a adopté cela etait pour créer de l'emploi le résultat est la : cela a créée du chomage
    Donc dire que les 35 heures sont une bonne choses je dit NON


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